C'est partie : "Le Livres d'Enoch Première partie"

(Dans l'ordre que vous voulez)


L'ascenseur monte, plus haut, toujours plus haut, vous avez la sensation, que vous fermez la page d'un livre, et que là à l'instant, quelque chose de grand, très très grand vous attends, un noueau livre, dont vous serez les auteurs.
Bien que vous soyez serré entre tout ses japonnais, ses hollandais et autre divers touristes, vous vous sentez dans une bulle, que rien ne peut venir ébranlée.

Les portes de l'ascenseur vous ouvre les portes du "JULES VERNES" le fameux restaurant de Paris, le plus luxueux, le plus chers, le symboles du monde mondain de Paris :







Une musique très jazzy en fond sonore se fait entendre : connotant l'endroit velouré et chic de Paris :


Un groom service vous demande si vous voulez que l'on prenne soin de vos affaires, puis après les avoir - si vous avez acceptez son offre - disposés dans un endroit prévu à cette effet, vous conduit à la réception du restaurant.

En passant devant la carte vous avez vu que le restaurant affiche des pris comme 15 euros pour un caé, 25 euros pour le café viennois,cles menu quant à eux varis entre 100 et 250 euros, les plats du jours entre 75 et 150 euros.

Lady's and gentlemen bienvenue au Jules Vernes.

Palito tu arrives à quel heure ? (tu me fais un jet d'intelligences + culture) Palito est déjà en haut.

Diftrid est en bas.

HRP:Pour les lancés de dés, je vous dit le lancer à faire vous le faites chez vous, vous poster le résultats, je vous donnes les résultats.
Sinon la plupart se font au rp.

Palito c'est levé ce jour là au petit jour ... il n'aime pas traverser la ville lorsqu'il y a du monde. Il est devant le restaurant vers 5heures du Matin, posé sur une marche d'un bâtiment d'en face. Il joue des airs de musique Indien au tambour et à la flute ... et observe les gens qui entre dans le restaurant ... il attend l'ouverture pour rentrer...

Mais constate que ses vêtements risquent fort de lui en interdire l'entrée. Il sort son portable.
"Allo ? Thierry ? Désolé de te réveiller si tôt mais j'ai un petit soucis. Tu pourrais me trouver des vêtements Classe ? Car là le restau ne m'a pas l'air d'être un buffalo grill... si tu vois ce que je veux dire... [...] tu passes dans une heure ... parfait encore merci..."
Palito raccroche et se remet à jouer...
Quelques pièces tombes dans son chapeau ... et il remercie ces gents ...

Thierry finit par arrivée avec un peu de retard vers 9 heures... encore des bouchons sur le périph...
et pas moyen de trouver une place. Il lui passe donc les habits et un sac de voyage pas trop gros pour y glisser ses habits ordinaires.

Palito remercie Thierry chaleureusement puis sans complexe se change dans la rue ... les vieilles dames faisant des sermons à sa vu mais ne manquant pas de bien regarder tout de même.
9H30 (du matin) si c'est ouvert il décide de rentrer... (sinon il attend l'ouverture pour se changer et rentrer.
(résultat du jet 10 10 2 pas de succès auto)

Palito : tu te rends compte que le restaurant en question est au sommet de la tour Eiffel en, fait donc pour le bâtiment en face ... ^^
Lorsque Thierry arrive il t'annonce qu'il a vue une jeune femme très sexy et mignonne, qui correspondait à la description de ta soeur à son magasin ( Thierry vit en vendant , des produits bio, et des produits de bien être des pierres semi-précieuses, de l'argile, des tisanes ....), il l'a orienté vers le restaurant en haut de la Tour Eiffel , là où lui as-t-il dit ton deston t'avais appelé.
"D'ailleurs je pensais que tu savais ce qu'était le Jules Vernes hé hé hé, tu aurais dû me demander mon ami je te l'aurais dis. Allez régale toi bien, leurs plats sont à tombé!"
Puis il s'en va.

Alors que tu rentres dans le Jules Vernes, tu apperçois une célébrité bien connue, Pierre Palmade en train de diner avec Michelle Laroque (mais tu t'es bien creusé le cerveau pour la reconnaitre.)

Ditfrid connait un instant un léger vertige, la capitale française succédant aux plaines arides de l'Afghanistan offre une forme assez abrupte de dépaysement.
L'idée de plonger dans un des aspects les plus mondain de ce nouveau cadre fait naitre chez le jeune aumônier un bouffée d'angoisse viscérale.
Après une serie de longues inspirations il s'adresse à lui même quelques mots d'encouragement : « Je n'ai jamais laissé ce genre d'appréhension guider mes pas dans un pays en guerre, il n'y a définitivement rien à craindre ici... N'est ce pas ? »*Gloups*
Un dernière inspiration et il se lance d'un pas décidé vers les escaliers menant au restaurant.

Arrivant à proximité du hall d'entrée, il laisse passer un petit groupe de personne en tenue de soirée, leur adressant un rigide mais polis salut silencieux.
L'homme, dans la quarantaine et entouré de trois belles jeunes femmes en robes de haute couture qui pourrait être ses filles, ne pris même pas la peine de lui répondre mais deux de ses 'amies' jètent à Ditfrid regards et sourires dérobés alors qu'ils le dépassent.
La main droite de l'homme dissipe l'hypothèse première de Ditfrid quand à une potentielle relation parentales entre l'homme et les jeunes femmes dès lors qu'elle se pose pour empoigner le fessier de l'une d'entre elle, lui soutirant quelques gloussements amusés.

Tout à ses désillusions, Ditfrid s'engage dans le hall et ne réalise la présence du 'portier' qu'alors que ce dernier est déjà sur lui.
L'homme, grand, brun, au costume paraissant peiner à contenir une musculature impressionnante, lui adresse dans un sourire ferme et un peu sec :
« Bonjour Monsieur. Puis je vous aider en quelques façon ? »
Il se tiens fermement entre Ditfrid et l'entrée... Le treillis, les rangers et le balluchon doivent très probablement lui irriter la cornée.
« Bonjour mon fils, Oui je pense que vous pouvez probablement m'aider, je suis l'aumônier Ditfrid, je dois retrouver ici même quelques personnes, pourriez-vous, je vous prie, m'indiquer la table qui nous à été réservée ? »
Le gorille semble interloqué, le ton et l'aplomb de son interlocuteur n'étaient pas escomptés, et l'idée que ce troufion en maraude puisse être un homme d'église le laisse quelques pas en retrait de ses chaussures.
« Au..mônier Ditfrid vous dîte... Humm bien, je vais hmmm regarder de suite... Mon père »
Ditfrid adresse a l'homme un sourire franc et aimable puis avant qu'il ne se dirige vers le guichet d'accueil ajoute :
« Veuillez je vous prie, excusez ma tenue pour le moins 'décalée' vis à vis de votre code vestimentaire mais je débarque tout juste d'Afghanistan pour cet entretien. J'ai avec moi une tenue plus civile... Auriez vous quelques vestiaires à disposition ? Que je puisse m'habiller de manière disons... plus en adéquation ? »
Le malaise de son interlocuteur semble alors s'atténuer, et dans un hochement de tête il lui répond :
« Bien sur mon Père, veuillez me suivre, j'irai consulter les réservations pendant que vous vous changerez si cela vous convient »
D'un aimable sourire Ditfrid le remercie.

Dans le vestiaire du personnel, Ditfrid se change rapidement puis s'arrête devant son reflet dans le miroir. Sa soutane n'est plus réellement à sa taille et il eut un mal fou à fermer son col virginal, cinq ans sur le terrain l'on changé, tant physiquement que mentalement. Il ne peut retenir un leger rire alors que son regard se pose sur ses rangers qui dépassent de sous sa robe.
« Et bien mon grand, tu ressembles plus maintenant à un personnage de bande dessinée qu'au jeune fidèle que tu été... C'est peut etre a ça que ressemblait le père Carmodi dont parlais le deuxième classe Thomas »
Le 'portier' le tira de sa rêverie en toquant à la porte du vestiaire.
« Père Ditfrid ? Si vous êtes près je peux vous mener à votre table »
Ditfrid sortis peu après, le remerciant pour son aide précieuse.

Pierre, responsable de la sécurité du restaurant, ne pu retenir un sourire en voyant évoluer dans le hall le Père Ditfrid... On dirait une sorte de gorille bien éduqué en costume de curé... Et y'a pas... les rangeos marron sous la robe... Cà en jette !

Spoiler:

Léah avance d’un pa décidée dans la rue, elle marche avec classe vêtu de l’une de ses robe courte banche afin de ne pas avoir trop chaud et pour mettre en avant ses jambes de gazelle, son visage exprime une pure tendresse, son regard se pose délicatement sur quelques passant qui pour certains s’arrêteront à la rare beauté de celle-ci.

Elle arrive alors non loin de la tour Eiffel, comme à son habitude, nul son ne sort de ses lèvres, mais elle laisse un doux sourire à imaginer une rencontre avec son… frère. Finalement peut-être que le destin lui offrait une nouvelle chance.

Elle sort alors son téléphone portable et appelle quelqu’un :
C’est avec sa voix de velours qu’elle dit alors, « Oui c’est moi, rentre sans moi, et si j’ai des rendez-vous annules les, j’ai à faire. Bye-bye Luigi. », Puis elle raccrocha, rangea son portable dans son petit sac, et reprit sa marche vers le restaurant.

Elle arrive alors en bas de la tour effeil, elle prend alors l’ascenseur pour arriver sans trop se fatiguer au restaurant. Arrivant en haut elle s’arrête à l’entrée intérieure du restaurant et regarde de son regard perçant les différentes personnes qui s’y trouve.
Un jeune homme arrive alors vers elle, "que puis-je pour vous mademoiselle Dizon ?"
En effet, cela devait être le restaurant où elle allait le plus souvent, elle c’est toujours sentie en sécurité là-bas.

Toujours avec sa voix de velours, « Bonjour, j’ai rendez-vous avec des amis à la table 6 Charles »

« Ho mais je vous en prie suivez-moi. »
Le suivant son regard se portera assez vite vers deux personnes,

*C’est alors ainsi… dans ce cas, je suis prête*

*: Pensées

(je réorganise tout ça)

Léah lorsque tu rentre, on t'ammènes à la table six où est assis en l'occurence un prêtre plutôt baraqué en revanche tu ne vois pas ton frêre. Tu reconnais sans soucis Diftrid, qui t'as donné rendez-vous.

Palito et tu jettes un rapides coup d'oeil ( perception + vigilance) pareil Léah.

Spoiler:

Palito s'avance tranquillement vers la table des Deux comiques ...
"Bonsoir ... désolé de vous déranger je suis un grand fan mais surtout j'apprécie beaucoup le bien être que votre humour procure aux gents... voilà je vous laisse ma carte... aux cas où ... je travailles sur des séances de détente par le rire ... entre autres ...n'hésitez pas peut être cela pourrait vous aider dans vos skech et bonne soirée".


Il ne leur laissa pas le temps de répondre qu'il était déjà reparti ... sa carte dans la main de Palmade.
Les deux comiques restaient bouché bée... vraiment ils en avaient connu des rencontres mais celle là leur semblait complètement incongru ...Il s'en souviendrait longtemps de ce gars là.

Palito à lui même: " Bon ma sœur maintenant ... rah j'aurai du demandé au gars à l'entrée ... qu'est ce qui m'a pris de lui dire que j'avais trouvé qui m'attendait...
Rahhh ce costard vraiment ne me va pas du tout c'est trop serré..."

Et là il l'a vit ...et sourit sans s'en rendre compte.
"Hello... non c'est nul ça comme introduction... alors bonsoir ? un simple Mademoiselle ... punaise d'habitude je me pose pas de question ... une sœur tout de même ça fait un choc."

Voyant la jeune femme se diriger vers leur table d'une démarche témoignant de l'aisance qu'elle a à ce mouvoir dans ce genre de milieu, Ditfrid fut pris d'un bref instant de panique.
Ces cinq dernières années l'ont formé à une étiquette bien particulière et c'est dans un mouvement rapide et presque militaire qu'il se leva de sa chaise pour accueillir mademoiselle Dizon. Il dut faire appel à toute sa volonté pour réprimer le salut qui allait si usuellement de pair avec sa réaction.
Après un très bref instant, mis à profit pour se remémorer que son retour à la vie civile impliquerai l'absence totale du salvateur 'rompez', Ditfrid tira une chaise l'écarta à l'attention de la nouvelle venue.

« Mademoiselle Dizon, c'est un plaisir que de vous rencontrer. Je suis le Père Ditfrid. S'il vous sied... » et d'un mouvement un peu empreint il présente la chaise à la jeune femme.

Palito jets d'intelligence +coulture.

Léah lui sourit aimablement, son regard n’était plus autant perçant mais plutôt doux, elle alla donc à la chaise que lui proposa le père Ditfrid,


*Le père Ditfrid semble être un gentleman voila qui est amusant. Hmm, je me demande quel genre de personne peut bien être mon cher frère… Pourvus qu’il vienne et que je sois… assez bien… Allez courage Léah, ça ira !!!*

(Résultat du jet : 10,9, 9, 2, 4)

Tu apeçois ton frêre qui au même moment que tu le trouve te trouve, il était un peu perdu, il vient de finir une discussion avec deux célébrités dont tu as oublié le noms. et viens vers toi.

(cf post d'ARMANIAC plus haut).
Armaniac tu reconnais la jeune fille de ton rêve.

*C’est…c’est lui…Pa-li-to…c’est bien lui… que dois-je faire… il est si beau, comme dans mon rêve. Je me sens étrange, vais-je être assez bien… Palito, mon…frère !
Jamais je n’aurais pu rêver mieux à ce jour qu’une nouvelle chance comme celle-ci, et il est hors de question que je la laisse filler.
Comme c'est étrange, j'ai comme une mélodie en moi...*

Léah étonnée restera immobile un instant, puis lentement se lévera de sa chaise, son regard sera des plus doux, son sourire sincère et très tendre, et à l’approche de son frère,


*Je me demande comment il va me dire bonjour, cela sera amusant, va-t-il prendre l'un des choix suivants: Le baise-mains, les bises, la poignet de main, où juste des mots ?*

Une fois la jeune femme assise, Ditfrid retourne à sa place, heureux qu'elle n'ai pas remarqué ou du moins ai eu la bonté d'âme de ne pas s'attarder sur ses manières pour le moins rigides et rouillées.

« Bien, Leah, je vais tacher de m'y faire. Ne m'en veuillez pas mais j'ai passé ces dernières années dans un cadre où il reste assez rare de jouir d'une telle .. hmm.. liberté ? Dans les patronymes utilisés auprès de nos interlocuteurs. A ce titre, vous pouvez si le coeur vous en dit m'appeler Ditfrid. C'est... mon prénom»

Ditfrid va pour se rassoir et a mi chemin voit la jeune femme se figer. Mimétisme oblige, Ditfrid se fige également, le fessier à une dizaine de centimètre du rembourrage du fauteuil et cherche sans s'en rendre compte ce qui à pu ainsi capturer l'attention de la jeune femme.
Quand elle fini par se lever, le jeune homme fait de même puis réalise que son comportement est lié à l'arrivée d'une tierce personne que la jeune femme salut, le visage empreint d'une douceur marquante.

" Bon... bonsoir ... " Palito ne regarde que sa sœur le regard brillant ...
Il saisie alors les deux mains de sa sœur et les place sur son coeur...
"Ainsi voilà le vide en mon coeur comblé... "
Il se tourne vers le Curé ... "Monsieur"...
Puis gardant une main de sa soeur dans la sienne il l'invite à s'assoir.

"Par tous nos ancêtres est ce vraiment possible ?"

Le regard de Léah est tendre, éclatant,
*C’est donc ainsi, il veut bien de moi !!!*


*C’est incroyable le bonheur que je sens en moi, c’est tellement merveilleux !!!*

Léah à toujours l’air aussi calme, mais son sourire, aussi doux soit-il, anime comme un coté magique en elle. Elle s’assit alors tout en regardant son frère, sans réellement s’apercevoir que l’une de ses mains est toujours en la possession de Palito.

La voix de Palito comporte ce côté chantant des latino-américain mais son accent encore assez présent ne laisse aucun doute quant à sa lignée Indienne.

"En tout cas je l'espère ... nous avons tant de chose à nous dire mais nous aurons le temps plus tard j'en suis sur."
Il lâcha la main de Léah, en prolongeant l'instant, laissant glisser ses doigts sur les siens.

"je me présente, je suis Palito Genaro (prononcé Guénarro) mais mes amis m'appellent par mon vrai nom Niyol, je suis Scion de Tonenili.
Désolé Monsieur mais ma soeur et moi nous nous rencontrons pour la première fois et j'avoue que je suis troublé."

Palito enlève sa veste et la pose négligemment sur le dossier de sa chaise, contemple un instant la table et laisse apparaître son trouble face à la quantité de couverts posés devant lui.
"Et à qui ai-je l'honneur ?" demanda t il au curé...

Quand Léah perçoit le trouble de Palito face aux multiples couverts, celle-ci pose l’une de ses mains sur la sienne,

Dit-elle tout en désignant à chaque fois chacun des couverts.
.
Léah était habituée à ce genre de table, son travail lui permettait de s’offrir de tel repas, repas qui lui rappelle bien souvent ses parents.

*Comme c’est étrange, j’ai l’impression de manger à nouveau avec ma famille…*

Léah lèvera alors la main vers le serviteur avec qui elle avait parlé précédemment (Charlie),

« Oui mademoiselle Dizon ? Que puis-je pour vous ? »
« Bien les voici ! »

*J’espère juste que Palito comprendra les menus, il faut dire que la cuisine française à le don de dire le contenue du repas avec une façon assez… peu compréhensible pour quelqu’un qui n’est pas habitué… Tiens je crois que je vais prendre le Théatrien de Volvars.*

"Merci pour cette brillante explication sur l'art d'utiliser les bons couverts".
Le ton semble sûr, l'expression du visage un peu moins ...

Mais lorsque les menus arrivent c'est apothéose de l'incompréhension...
"Excusez mon incompréhension mais les prix là, c'est juste pour la nourriture ? Mais avec de tels prix, on peut faire manger 20 personnes au moins..."

Son trouble grandit encore lorsqu'il passe sa main sur son portefeuille ...
* Mais comment vais-je offrir le repas à ma sœur ?*
Prenant un air faussement détendu il finit par dire :
"Veuillez m'excuser un instant j'ai un coup de file urgent à passer"
S'éloignant près de la baie vitrer il ouvre son téléphone portable...
"Allo, Thierry, bon je crois que tu as oublié aussi de me dire que le prix du repas va me couter une jambe... j'ai pas pris assez ... non... je sais oui mais la banque m'a dit que la carte serait prête la semaine prochaine... faut dire que mon visa touriste n'a pas favorisé l'acceptation de mon dossier... tu ne seras pas là avant 2 heures sans compter les embouteillages ? Bon ... c'est pas grave... je vais faire l’aumône... je trouverai une solution... promis."

Il griffonne sur un petit papier rapidement les quelques mots suivants:
"Veuillez me pardonnez mais je n'ai pas le choix ... pouvez vous m'avancer le prix du repas sans alerter ma sœur je vous en prie...faites moi juste un signe de la tête pour le répondre. Promis je vous rembourserai. Signé Niyol"

Avant de s'assoir de nouveau, il tend le petit mot à Ditfrid...
"Tenez le maître d’hôtel m'a demandé de vous le remettre en main propre. (petit Clin d’œil rapide dos à sa sœur)

Alors que vous êtes tous assis à table, dans votre cocon des éclats de rire explose à quelque table de vous, rompant avec le calme de la musique Jazzy.

Tout les gens hallucinés se retourne pour voir ceux qui dans le dos de Niyol osent rompre cette ambiance coconneuse.
"Charlie" en question se dirige vers d'où proviennent les éclats de rire. Vous entendez une chaise raclez le sol est un bruit mat qigne que quelqu'un est tombé en regardant vous Pierre Palmade mort de rire.

Charlie :
-Monsieur tout vas bien. Vous avez rien de casser

Michel Laroque morte de rire:
-Pfrrrrr hahahaaahaahaa Pierre relèves-toi voyons, enfi..mwahaaahaahaaa trop dôle

Palmade :
-Haahaaahaaaaahaaaaahaaaa ce mec était tropwahhahahahaaahaaaa ..pfrrrrfr, houlahoulahoulala j'ai ma au bide hou houuu


On l'aide à se remettre sur chaise. Les deux confrêres se regarde un moment de plus belle puis :

"Mwaaaahaaahahahaa ce gars était trop fort mwahahahaaaa faire ça ha nous , pfffrpfrrprr"
Michel pouffe et Pierre en peu plus ça semble ne plus pouvoir s'arrêter comme si les années de rire qu'ils avaient contenu dans leurs spetacles sortaient enfin de la prison de leurs ventre, il rient comme des enfants qui n'en peuvent plus devant les gags d'un clown.

Tout le restaurand se demande ce qui peut bien se passer et à le regard river vers les deux comique.

Ne pouvant résister à la scène Palito se relève en s'excusant aux près des ses deux convives.
Et se dirige vers Palmad et sa compagne...
Abordant le Serveur il lui dit : "Voyez eux non plus ne m'ont pas cru quand je leur ai dis que je donnais des cours de Rigologie ... vous devriez essayer ... ça détend les sphincter ...
c'est bien comme ça que l'on nomme le muscle des joues non ?"

Les deux comiques explosent de rire, Palmade est à deux doigts de se se cogné contre la table tandis que Michel Laroque elle se tient la tête contre la table et tape de la main. Palmade lui se tape la main sur la cuisse.

Le serveur quant à lui parait se détendre ainsi que 3 autre personnes qui se mettent à rigoler joyeusement, mais les deux comiques offrent un véritables sketch, désormais, tout le monde à les yeux rivés sur Palito attendant la prochaine réplique!.

Palito enchaine aussitôt en regardant les gens de la salle et les prenant à témoin : " ce monsieur à du mal à se lâcher ... vous pourriez peut être l'aider non ?" Puis regardant le postérieur du serveur il ajoute ... "Est ce vraiment une bonne idée?"

Les gens se mettent à rire et les comiques commencent à renverser des verres ce qui fait rire toute les personnes qui voient la scène.
Qui rigoles, le serveur rigole de la blague lachant son plateau ainsi que les gens qui sont autour
Les gens commencent à rigoler et Michel et Pierre en peuvent plus.

Pierre se lève :
-Faut qu'j'aille Pi......pffrrhaahhahahaaaa"

Les gens éclatent de rire, et le rire étant communicatif, des gens qui étaient dans l'autre partie viennent voir ce qui se passe.
Certains prennent même des photos de l'évènement mythique, il ne se rendent pas comptent à quel point s'en ait.


(Le mj fait un jet secret).