C'est partie : "Le Livres d'Enoch Première partie"

"Bon mesdames et Messieurs, remercions nos deux comparses et essayons de garder le silence sur cet événement qui a égayé cette soirée... donc je compte sur vous ... hein pas de fuite ! Ok?"
Se tournant vers Palmade il rajoute: " A ce propos tout va toujours bien Monsieur Palmade ?"

La foule après avoir explosé une énième fois de rire finit par se disperser, puis finit par retourner à leurs place, se rendant compte que s'a sarrêterait probablement là!, Palmades et Rigoles encore mais moins fort qu'avant.

Palmade te fais signe d'approcher,
" Palito pfrr f c'est bien ça , excellent vraiment excellent, tu devrais te lancer dans une carrière t'as du talent et du cran c'est ce qu'il faut" Pierre se calme

Michelle :
"Ouihihihiiiihiihiiiiiii...."

Pierre :
"Enfin ce que veux dire Michelle c'est que c'est sûr , t'as du talent et ..."

Michelle:
"c'est çah hahahaahahaa haha..."

Pierre :
"Bon bref si t'as besoin d'un coup de pouce, tu m'appelles Michelle ou Moi"il te tend une cartes avec numéro persos " Ha et j'oubliais j'ai entendu ton coup de téléphone à .... Thierry ..C'est ça .... " Pierre pose son carnet de chèque sur la table et le remplit cash de 800 euros. "Ca c'est pour le bon moment que tu nous a donnés. on c'est pas tout mais faut qu'on y aille on a rendez avec Muriel , pour préparez les enfoirés, on bouge Michelle."

Michelle: "Ouihiiii okhéhéhéééé Mercihi.hihi.hi" elle semble (je dis bien semble) se calmer.
En partant elle te fait une bise.
Puis après avoir payé ils s'en vont laissant un chèque pour les verres et les bouteille cassé.

Palito ramasse avec respect les cartes de visite et le chèque...
"Merci vraiment votre générosité me touche ... je n'hésiterai pas à appeler merci beaucoup... vous de même n'hésitez pas à me joindre ce serait un plaisir un soir d'égayer votre soirée une nouvelle fois."
Palito se courbant pour les laisser partir ... finit par se retourner l'air heureux comme un enfant à qui ont vient d'offrir des bonbons.

S'adressant au Curé il lui dit: "je pense que votre message n'est plus aussi urgent ... nous allons pouvoir commander notre repas maintenant... C'est si bon de rire ... vraiment cette ville semble en avoir réellement besoin."

Ditfrid, qui avait regardé dans un silence ému la relation poignante partagée par les frères et soeurs fut dans un premier temps surpris par la crise de fou rire qui à rapidement envahie la salle. Il se retrouva très rapidement avec les 'sphincters' bloqués sur un sourire franc.
La surenchère de blagues lui coupa un temps le souffle, lui arrachant quelques larmes de rire qui n'avaient que trop peu eu l'occasion de s'exprimer ces derniers temps.
Il est quelque part touché par la fraiche candeur qui exhale de Palito.
Quand ce dernier lui adresse la parole il ne peut que lui confirmer son assomption d'un signe de tête.

« Effectivement, et je dois admettre que ce délicieux fou rire m'a pour le moins mis en appétit. »

Il se jette alors un coup d’œil à la carte.
Rapidement le col de sa soutane lui semble quelque peu étroit...

« Hmm... Un appétit qui se devra de rester raisonnable... »

Pendant que Palito fit ses blagues elle ne ria pas vraiment mais elle souriait d’amusement, non pas qu’elle ne trouvait pas cela drôle, mais plutôt qu’elle n’avait plus l’habitude de rire.
Au retour de Palito à table,
Elle se tourna vers chacun d’eux,

Après la dernière déclaration de Amyra, il la regarde avec les yeux ronds... presque humide ... la main tremblante serrant encore le chèque durement gagné... il essaya de dissimuler son trouble par un rire nerveux ...
"Hé bien les mœurs ont bien changé si maintenant ce sont les femmes qui invitent les hommes." Il lui fit un de ses plus beaux sourires puis s'assit...
"Mais si vous insistez sachez qu'une oeuvre charitable aura le bénéfice de ce spectacle ma chère soeur ...

Monsieur Ditfrid je ne sais si j'ai rêvé mais seriez vous le fils du Grand Père du Nord, le seigneur du froid ?"

Un autre serveur s'approche de vous, son carnet et son stylo :
"Ces messieurs et dames ont-ils choisis ?"

" Hum et bien je vais prendre le menu avec : Le homard et ses légumes croquants, suivit d'uine pigeon à la crapaudine cuit au sautoir, févettes et petit poids à la Français. et de l'eau de source
et en dessert ... L’ÉCROU AU CHOCOLAT (dit il avec un brin de malice dans la voix) et praliné croustillant, glace noisette !
Je vous prie."

Léah se tourne un peu vers son frère, souriante et amusé,

Puis elle prend le menu, après avoir un instant feuilleté le menu, Léah le ferme et se tournant vers Charlie,

(Désolé, j'ai eu un WE très chargé :/ )

Ditfrid semblait un instant perdu dans ses pensées suite à la question de Palito.
Il réalisa soudain que Léah le regardais, semblant attendre de lui une réponse... Il lui fallut quelques secondes de plus pour se souvenir des derniers mots échangés.
« Excusez moi, j'été un peu ailleurs »
Son regard se reporta sur le serveur et sans plus regarder le menu il commanda une salade caesar et une eau minérale. Une crème brulée pour dessert.
Il suivit des yeux le serveur qui partait avec la commande et répondit :
« Potentiellement, demain recel tous les mystères et merveilles du monde, c'est ce que le rend sans équivalent »
Il tourna son regard vers Léah, un léger sourire aux lèvres.
« Je pense que c'est là ma devise si je dois en avoir une »
Il se tourna enfin vers Palito et du réfléchir un instant avant de prendre la parole.
« Que vous me posiez cette question me laisse... Perplexe. J'ai, il y a de cela à peine plus d'une semaine, fait une 'rencontre' dont j'ignore encore si elle été réelle ou juste une illusion due à un traumatisme. Et cette 'rencontre' m'a affirmé quelque chose s'approchant peu de temps avant que je ne perde conscience. Et je dois admettre que la façon dont vous me questionnez, l'aplomb et la hmmm... simplicité de votre manière de demander m'interpelle... Sauriez vous ce qu'est la signification cachée de ce non-sens ? »

« Je serai bien présomptueux de vous qualifier de fantaisiste... Après ma récente visitation, et le fait que je vous parle aujourd'hui, je n'ai d'autre choix que de porter tout le crédit qu'elles méritent aux visions et révélations … spirituelles.
Mais outre cette vision dans laquelle le fils du seigneur m'intimait de vous trouver et de me joindre à vous pour recouvrer le livre d'Enoch, j'ai eu peu de temps avant, une autre 'vision' ou 'visite'.
Le détachement auquel j'été rattaché était en déplacement entre deux bourgades Afghanes, nous sommes tombé dans une embuscade et j'aurai du y trouver la mort. J'agonisais au milieu d'un charnier... Une jeune femme, de longues tresses blondes, vêtue de cuir et d'acier, me tira de là pour me trainer dans les ruines d'une usine pour y panser mes blessures. Elle ne collait pas du tout au décors comme vous pouvez l'imaginer, ce qui me pousse à croire à une crise de delirium.
Dans mes souvenir flous, elle m'a tenue un discours quelque peu aberrant, me disant que mon temps n'été pas venu encore et que les...'norns'... avaient d'autres projets pour le fils caché de... d'Odin. »
Ditfrid pris un temps pour lui même, ces souvenirs semblent douloureux et troublants.
« A y réfléchir, ce genre de délire peu se comprendre, je n'ai jamais connu mes parents, et dans la douleur et la peur, l'esprit peu mettre en relief des blessures morales auxquelles on refuse de faire face au jours le jours. Aussi n'ai je pas preté plus d'attention a tout ceci... Surtout vis a vis de l'autre 'expérience' que j'ai vécu quelques jours après. Aussi vous comprendrez que vous entendre tenir ce discours me... Perturbe quelque peu. »

"je ne puis que compatir à votre tourment mais je ne puis assurer que je comprends vraiment ce que vous endurer car j'ai moi même toujours su que j'étais le fils de la Pluie.
Je pense aussi qu'être un homme d'église et apprendre que l'on a une parenté d'un panthéon polythéiste puisse quelque peu bouleverser... le tout est de savoir vers quoi on veut fair etendre sa coryance... il est parfois réconfortant de savoir que l'on peut compter sur quelque chose de sur."

À la remarque de Léah le serveur rougit :
"Heu excusez-moi mais ce n'est pas Charlie, je m'appelle Léon"
Le serveur te montre son badge.
"Bien je vous apporte vos plats."
Au bout d'une attente de 20 minutes chacun, Léon vous apporte chacun le premier plats que vous avez commandé, l'odeur es plus qu'aléchante, et le designe de mets dans l'assiette ne donne qu'envie que de la regarder.
"Voilà mesieurs dame bon appétit.

Palito se restaure sans gloutonnerie mais arrive sans mal à finir son assiette ...
*décidément ses restaurants chics sont certes bons mais questions quantité ils sont avares*

Il se tourne ensuite vers le curé est semble attendre sa réaction ...
"Bon si vous ne souhaitez pas aborder le sujet je comprendrais... nous avons ensuite à aborder le problème de Saint Étienne me semble t il ..."

Léah savoure très chiquement l'assiette, d'un air calme et serein, buvant avec une grâce certaine l'eau se trouvant dans son verre.
À la remarque de Palito, elle s'exclame discrètement :
"Oulàlà oui les pauvres, vous, vous rendez comptes ! Quel tremblement de Terre! Dans une zone en plus pas du tout sismique. C'est un drame tragique pour ces pauvres gens"
Léon arrive et vous débarrasse le premiers plats que vous avez commandé. Et vous apporte quelques minutes plus tard la suite.
Léah "Merci Léon"

la musique à changée et est passé sur du Miles Davis :

Le prêtre semble un moment, dans la lune comme perdu dans ses pensées :
Léah: "Ho nous ne sommes pas les seuls scions hihi, mais qu'est-ce qui lui arrive au père. Il a pas l'air dans son assiette hou hou père Diftrid ?"
Léah fait de grands signe devant lui, mais celui-ci ne réponds pas il est absent comme absorbé dans quelque chose.
Léon arrive emportant les deuxième plas et ammenant le café.
Léah :"Vous n'aurez pas une aspirine pour notre prêtre adorée? Il a pas l'air bien le pauvre."

Léah parait surprise mais son regard est toujours pure comme celui d'un enfant qui cour vers ses cadeaux de noel
"Moi ha non, je ne sais rien de plus que l'actualité, le tremblement de Terre, l'effondrement de la ville sur elle même, les centaine de blessés et les milliers de mort ! Mais c'est juste que comme notre père nous a dit que tout se paserais par ici, j'en conclut qu'il en ai pas de notre ressort, donc que d'autres scion s'en occupent !"
Son sourire est radieux, elle semble fière de son explication à son frêre, son visage est tellement lumineux qu'il illuminerait la nuit, une chose est sur, Léah est l'îcone moderne de la pureté.
Puis elle se retourne vers Léon qui revient avec une aspirine.
"Merci mais oulahlaï qu'est-ce qui lui arrive au père Diftrid, père Diftrid youhou" elle se remet à faire des signes devant, certaine personne aux alentours commencent à regarder ce qui se passe l'air curieuse.

pendant que Palito observe scrupuleusement le Curé pour déterminer ce qui lui arrive ... il se met à échafauder un plan pour détourner l'attention des gens pour le cas où cela deviendrait embarrassant.

Palito se met juste à dire assez fort :
"Mais il prie ... voilà tout ... Mon dieu j'ai compris on a pas dit la prière avant le repas... peut être que tous ses gens qui nous regardent voudrait se joindre à ce moment d'intense émotion ... je vais appeler ceux qui nous regardent au point d'en oublier ce qu'il y a dans leur assiette qu'en penses tu Leah ?"

La mine de Léah s'écarquille comme quelqu'un qui vient de comprendre :
"Mais oui c'est ç ce serait merveilleux Palito!"